Thérapies brèves ou longues
Adultes : individuels et couples
Association JASPERIDES
La peur de conduire peut se traiter aujourd’hui grâce à des outils thérapeutiques adaptés. Il est important de savoir qu’il existe beaucoup de personnes qui présentent ce trouble et qui n’osent pas en parler.
Au début on se dit que ça va passer, que c’est parce qu’on est fatigué… On va se trouver plein de petites excuses pour justifier les premiers symptômes qui vont apparaître : bouffées de chaleur, palpitations, sensation d’étouffement, vertiges, vision troublée…
La peur commence à devenir handicapante quand elle est déclenchée par l’imagination et l’irrationnel : on va s’imaginer qu’on va avoir un accident si on roule sur une autoroute ou si on double un camion. Notre imagination peut même nous amener à nous voir mourir.
Petit à petit, la peur de rouler sur autoroute va s’installer, la peur de doubler un camion, la peur des virages, la peur des voitures qui doublent, la peur de tout mouvement autour de la voiture, etc. En tant que professionnelle de la psychothérapie, je vous propose un accompagnement individuel personnalisé. Ayant moi-même par le passé été dans l’amaxophobie, j’ai eu envie de mettre au service de mes patients ma propre expérience en créant une méthode qui associe à la fois les techniques cognitivo comportementalistes, l’hypnose, les mouvements alternatifs oculaires, la PNL, la relaxation et bien sûr la parole.
« Un trauma se produit lorsqu’une personne est victime (ou témoin) d’un événement qui menace sa vie ou qui peut entraîner des blessures physiques graves. Il peut se produire chez les victimes mais aussi chez ceux qui viennent à leur secours (pompiers, policiers, etc.) ainsi que chez les membres de leur famille proche ou chez des personnes qui sont simplement témoins de ces événements ».
On peut classer les réactions traumatiques en 5 catégories :
Si une personne a des difficultés physiques, cognitives, interpersonnelles et spirituelles après un trauma et qu’elles persistent au moins 30 jours après que le trauma ait eu lieu, cette personne sera alors atteinte du Syndrome de Stress Post-Traumatique (SSPT).
Il existe plusieurs formes de manipulation. Derrière la manipulation quelle que soit la forme, se cache une stratégie pour atteindre un objectif ! Alors on va dire qu’il y a des stratégies conscientes et des stratégies inconscientes.
Dans les stratégies conscientes (on sait pourquoi on manipule), la manipulation ne sera pas dangereuse (toxique) pour le manipulé parce que la personne qui va opérer une manipulation va être capable de mettre un « frein » ou un « stop » à sa stratégie si elle s’aperçoit qu’elle risque de nuire à l’autre.
Dans les stratégies inconscientes voire pathologiques, la personne qui va manipuler ne connaitra pas ses limites ou ne voudra pas les connaitre et ne pourra exister qu’en mettant sa victime sous son emprise donc sous sa dépendance. Manipuler deviendra presque comme une drogue !
Les victimes de ces manipulateurs que nous allons qualifier de « pervers narcissiques » sombrent petit à petit dans le doute, la culpabilité, la perte de repères, la perte de confiance en elles et en les autres, l’isolement avec au final un sentiment de perte d’identité.
Ce manipulateur va isoler sa « proie » en éloignant sa famille, ses amis, ses collègues de travail. Ce qu’il vise c’est l’effondrement psychologique et psychique de sa victime afin de la transformer en « marionnette » pour mieux la manipuler !
Il est souvent très difficile pour les victimes de ces manipulateurs, d’accepter le fait d’avoir été manipulées souvent pendant plusieurs années comme il est très difficile pour elles de sortir de l’emprise.
Le travail thérapeutique va consister à les aider à retrouver leur identité et donc leur libre arbitre tout en leur donnant les outils adaptés pour gérer des situations de manipulation que ce soit dans un contexte familial, amoureux ou professionnel.
Formée à la supervision par Alain DELOURME (Docteur en psychologie, Psychologue clinicien, Psychothérapeute), j’anime des supervisions individuelles et groupales auprès de professionnels de la psychologie qu’ils soient psychopraticiens, psychothérapeutes, psychologues ou psychanalystes.
J’accompagne également des coachs en supervision.
Mon éthique : écoute, bienveillance, respect !
Séances individuelles : 1 heure
Séances groupales : 3 heures
La supervision est une obligation déontologique pour tout clinicien quel qu’il soit.
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